Le 4 mai 1976, Christian Dotremont (poète, artiste visuel, calligraphe et fondateur du groupe Cobra), 54 ans, part en Laponie accompagné d’une jeune historienne de l'art, Caroline Ghyselen.
Le livre, édité par les Évadés du Poème 2 et limité à 500 exemplaires numérotés, retrace pour la première fois ce voyage extraordinaire. C’est le carnet de leur voyage au pays des « logoneiges ». J’ai conçu ce projet dans un équilibre subtil entre le texte, les images du voyage et les reproductions des œuvres de Dotremont.
Des pages chapitres et des respirations ponctuent le récit, et un jeu discret sur la couleur, ton sur ton, installe une atmosphère subtile. Les visuels sont intégrés de manière à dialoguer avec le texte, créant ainsi une fluidité qui accompagne l’évolution narrative à travers les pages.
« Le logogramme n’est pas abstrait et ne le sera jamais, ce n’est pas un geste gratuit, il est dominé par une signification. D’ailleurs, je ne suis pas aussi libre que ceux qui font de l’abstrait, ma pensée est à la base. En plus, je ne peux jamais revenir sur ce que je fais et c’est aussi pourquoi il y a beaucoup de déchets. »— Christian Dotremont
Le 4 mai 1976, Christian Dotremont (poète, artiste visuel, calligraphe et fondateur du groupe Cobra), 54 ans, part en Laponie accompagné d’une jeune historienne de l'art, Caroline Ghyselen.
Le livre, édité par les Évadés du Poème 2 et limité à 500 exemplaires numérotés, retrace pour la première fois ce voyage extraordinaire. C’est le carnet de leur voyage au pays des « logoneiges ». J’ai conçu ce projet dans un équilibre subtil entre le texte, les images du voyage et les reproductions des œuvres de Dotremont.
Des pages chapitres et des respirations ponctuent le récit, et un jeu discret sur la couleur, ton sur ton, installe une atmosphère subtile. Les visuels sont intégrés de manière à dialoguer avec le texte, créant ainsi une fluidité qui accompagne l’évolution narrative à travers les pages.
« Le logogramme n’est pas abstrait et ne le sera jamais, ce n’est pas un geste gratuit, il est dominé par une signification. D’ailleurs, je ne suis pas aussi libre que ceux qui font de l’abstrait, ma pensée est à la base. En plus, je ne peux jamais revenir sur ce que je fais et c’est aussi pourquoi il y a beaucoup de déchets. »— Christian Dotremont